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Circuit 24 Samoisien
Circuit 24 Samoisien
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5 juin 2019

"After 1990", le compte rendu

Enfin voici venu l’événementielle du mois de mai tant attendu (25/05/2019), avec un règlement défini dans sa plus simple expression : voitures aux carrosseries fermées, sorties après 1990, châssis libres (possibilité de scratch), moteur NSR Shark 22, couronne noire 27 dents Slot It ou équivalent (voir réglementer technique ici : http://circuit24samois.canalblog.com/archives/2019/01/29/37060470.html).

La course sera scindée en deux : une première partie de 4 heures (16h00-20h00) suivie d'une seconde partie de 2 heures (de 22h00 jusqu’à 00h00). Le tout entrecoupé d'agapes et de dégustations diverses… Le circuit « Demon double zéro » est encore choisi car faisant l’unanimité au C24S.

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Dix équipes sont au départ. Outre les participants habituels du championnat C24S, le club avait l’immense honneur de noter le retour du trésorier payeur général Kali, après 9 mois passés dans une lamaserie au Tibet pour se faire secouer le moi intérieur et polir les chakras.

Trois équipes extérieures avaient également fait le déplacement : le Parking Sud, composé de Giuseppe Turbino et d’Aubrax, sur une Scaleauto d’origine. Le SCIF avec Jacky, Nico et David, maître d’œuvre du DAVIC (la belle ouvrage que voilà!!!) au guidon (!!) d’une Toyota Proslot et châssis HRS Slot it. Et enfin l’équipe Vaillante, engageant une Mercedes CLK GTR Ninco HRS Slot it pour Gérard et les Echivard brother, fratrie que l’on ne présente plus et référence dans le monde du slot (oui ! Un peu de lèche ne nuit pas à condition que le coup de langue ne soit pas trop râpeux !!).

Inscrit en dernière minute, le team GUY2race, mené par Taras, comptait dans ses rangs Guy, amateur de slot mais totalement novice en course, à fortiori en digital d’où un apprentissage express qui va s’avérer délicat.

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Sur les dix voitures, on comptait huit Slot it, une Scaleauto. Seul le team Labavure avait fait le pari de l’originalité en engageant une Fly (Porsche 991 type 997).

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Les concurrents vont connaître différentes péripéties à l’exception de l’équipe gagnante, le SCIF, avec 38 tours d’avance sur DJACK’S.

Pour ces derniers, tout n’a pas été tranquille, car au bout de 3h15, et quelques relais, David rentre au stand. La voiture n’avance plus. Il faudra 4 minutes à Jacques pour revisser la couronne et remettre la Nissan en piste. Mais la chance n’est pas loin car cet incident s’est déroulé pendant une des rares interruptions techniques, (2 minutes) (magouille !!! Lors d’une interruption technique, toutes interventions sur les autos doivent normalement être interrompues le temps de la coupure… ndSSS). David repart troisième et, avant la coupure alimentaire de 20h00, il récupère sa deuxième place. Jacques reprend le relais mais réalise que cette place ne sera pas facile à garder. Il rend donc le cerceau à David, plus rapide qui creuse aussitôt l’écart sur RocGrav. Mais Jaques fera néanmoins les 30 dernières minutes en gérant l’avance prise. Belle preuve d’homogénéité dans cette équipe.

Roc et Gravillon termine 3ème (à 3 tours) sans aucun souci à signaler, et Gravillon confirme qu’il ne craint personne en performances pures.

Le team Leader va connaître un début de course mitigé et se place 8ème au bout d’une heure. Mais comme dit plus haut, c’est le retour de Kali à la poignée et le déverrouillage de l’index est difficile… Mais une petite mise en jambes suffit pour effectuer the big remontada, échouant à 5 tours des troisièmes et 8 de la seconde place.

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5ème, l’équipe BICLOSLOT restera sous la menace constante de Pasteam51. Au moment de la pause, ces deux équipes sont exactement dans le même tour avec sept secondes d’écart. Mais Bibi et Cloclo auront finalement raison du bi-nome Le Préz-Poussin, auquel s’est joint Midas vers 18h00. On se fera une idée plus précise du duel lorsqu’on regarde les meilleurs tours. Les deux ont fait 13'495’’s.

Que dire du duel final Vaillante-Labavure. Une antique Fly contre un bitza Ninco/HRS. A la mi-temps, les moustachus ont 1 tour d’avance sur Vaillante ; Et en fin de course, à 2 minutes du clap final, les invités ont mois de 1 tour d’avance alors que Pierre effectue une remontée magistrale sur la merco bleue. C’est ce moment que choisi l’équipier de Pierre pour lui donner l’écart, ce qui a pour effet immédiat de le déconcentrer une fraction de seconde. Labavure voit ainsi s’envoler l’espoir de gagner une place car l’écart final sera de 6’9’’s.

Mais la perte d’une roue avant puis le bris d’un morceau de carrosserie coincé dans la transmission ont aussi grevé la possibilité d’un meilleur résultat. Car l’extrême agilité de la Porsche dans les enchaînements techniques était un plaisir pour les pilotes. Dommage que la vitesse de pointe…

Haaa !!!! Les aventures et péripéties de Parking Sud en Seine et Marne !!!! Dès le début de la course, il Dottore Turbino rencontrait des problèmes de changement de voies, ainsi que des pertes de puissance aléatoires. Problèmes de tresse qu’Aubrax ne parvenait pas à résoudre malgré de fréquentes manipulations lors d’arrêts inopinés (Au fait Abrax, j’me rappelle plus… J’t’ai bien filé tes 50 balles comme convenu? ndSSS). Le pire va survenir à la reprise, dans les deux dernières heures : changement de poignée, de poste, de voiture… Rien n’y fait. Et finalement, l’ingeniere Turbino pense que les tresses à maillage serrée sont responsables et change pour des tresses fines à gros maillage. Bingo !! Cela va permettre aux duettistes essonniens de profiter pleinement de l’efficacité retrouvée de la Toy Scaleauto dans les derniers instants de la course.

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Quant aux derniers (il en faut!!), Taras avait inscrit une Nissan R390 avec un équipier totalement novice. Comme la voiture avait été réglée à l’arrache, toutes les conditions étaient réuni pour une course-galère en fond de classement.

La malchance rodait, au niveau du guide. Celui-ci était équipé d’œillets Slot It, qui sont de diamètre insuffisant pour rester coincés dans leur logement. Il aurait fallu mettre des NSR, de section plus épaisse. Cela leur coûtera un nombre incalculables d’arrêts au stand. A cela s’ajoutant un choc qui va mettre le châssis de travers, sans possibilité de remédier à la chose et handicaper la tenue de route. Pour finir, un aileron volatile coûtera encore quelques tours pour réparer. Mais on remarquera que Guy the rookie s’améliorera de relais en relais pour parvenir à la fin à des runs plus réguliers. C’est ce que l’on appelle « apprendre sur le tas » et on espère que la séance lui aura plus.

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Par Laminak

 

En bonus, la vidéo de la soirée :

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Commentaires
S
Merci pour ce résumé et compte rendu espère faire parti de l'aventure la prochaine fois. Beau travail de tout le monde pour la mise en place.<br /> <br /> A plus<br /> <br /> Sam
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L
Que des beaux gosses dans ce club !! 😁
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C
Quel talent, bien agréable à lire et a revivre <br /> <br /> <br /> <br /> merci
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S
Merci Laminak et un grand bravo à tous !
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